Blow - 2001 - Ted Demme - ****

Résumé :

A la fin des années soixante, sur la côte Ouest, le commerce des stupéfiants connaît un véritable essor. C'est dans ce contexte que George Jung, un Américain moyen, souhaite mener une vie trépidante et divertissante. George voyage alors en Californie, Etat du soleil et de la nonchalance. La marijuana étant lucrative et facile à revendre, il compte tirer profit de ce commerce florissant. Avec un sens inné des affaires et la complicité de Barbara et Derek Foreal, il met sur pied le premier réseau californien de drogues douces. La soif de richesse le gagne rapidement, mais la réalité le freine aussi vite : il est arrêté et mis en prison.
Derrière les barreaux, il fait la connaissance de Diego Delgado, un détenu qui se vante d'être régulièrement en contact avec d'importants trafiquants colombiens. Diego lui prouve qu'il ne mentait pas et le présente à Pablo Escobar, chef du cartel de Medelin.
C'est également grâce à Diego que le trafiquant américain fait la connaissance de Mirtha, une ravissante jeune femme dont il tombe aussitôt amoureux.

Mon avis :

Et dire qu'avant j'aimais pas Johnny Depp avant Donnie Brasco....je me serais mordu les doigts d'avoir loupé ce film....

Autour du film :

Le tournage s'est déroulé à Acapulco, Chicago, Long Beach, Los Angeles (Bel Air, The Ambassador Hotel), Manhattan Beach, Mexico, Ontario, Palmdale, Pasadena et Whittier.
À noter, une apparition (non créditée) du co-scénariste Nick Cassavetes dans le salon de Derek.

Lors des scènes de cocaïne, les acteurs sniffaient du lait en poudre.
L'actrice Rachel Griffiths, qui interprète la mère de George, est en réalité cinq années plus jeune que Johnny Depp (George), tandis que Ray Liotta, qui interprète son père, n'en a que huit de plus.
Pour préparer son rôle, Johnny Depp est allé rendre visite au véritable George Jung, actuellement incarcéré au Fort Dix Federal Correctional Institute, dans le New Jersey.

Tandis qu'il partage une cellule en prison avec Diego, on peut voir George en train de lire Hells Angels, un livre écrit par Hunter S. Thompson, également auteur du Las Vegas Parano dans lequel Johnny Depp campait un journaliste déjanté, et dont les psychotropes étaient déjà l'un des thèmes principaux du film.

Dans la salle de tribunal, quand George tente de convaincre le juge qu'il est innocent, ses paroles sont issues des chansons It Ain't Me Babe, de Bob Dylan et Pretty Boy Floyd, de Woody Guthrie.

La dernière réplique de George, There are no more white horses or pretty ladies at my door, est une référence à Lucky Man, une chanson de Emerson, Lake & Palmer.



23/11/2008
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